Management des ressources humaines et lean
Impliquez le management par du coaching opérationnel !
Le manager doit développer les capacités propres à l’esprit Lean
Certains managers devront envisager d’autres responsabilités.
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Le Lean Management, associé au Coaching, accroît les performances et prépare ce changement de management.
Le client est remis au centre, puis les collaborateurs de l’entreprise, machines et outils de gestion viennent en dernier.
C’est un système performant où L’Humain prend la première place
Il s’agit d’investir sur les hommes afin qu’ils s’impliquent dans la configuration de l’entreprise et la maintiennent à niveau dans le temps.
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1 investi en Lean Management produit entre 5 et 10 .
Le rôle du management est de libérer les énergies et le coaching est là pour accompagner ce changement.
Apprendre à manager humain, avec du coaching pour décupler les performances à l’aide du Lean Management, prend alors tout son sens
Tout est fait pour que :
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l’énergie des salariés remonte à la surface, crise ou pas crise.
Pour cela, le manager doit :
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coacher et impliquer,
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faire appel à l’intelligence des salariés,
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inspirer par sa vision et motiver.
C’est plus rentable que de ne s’intéresser qu’à la réduction des coûts et de faire des plans sociaux
C’est une approche redoutablement efficace :
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pour impliquer le personnel dans la réussite de l’entreprise,
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de manière positive et gratifiante.
Le management à l’ancienne, dans lequel le chef (qui savait parce qu’il possédait un diplôme d’ingénieur ) était indispensable, a vécu.
Aujourd’hui, comme l’écrit Leen Zevenbergen* dans « Brûle ta cravate et danse » (ESF éditeur), le management des ressources humaines doit faire sa révolution.
Il ne s’agit plus de :
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ni contrôler,
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ni établir des horaires rigides,
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ni d’obtenir des résultats par la contrainte.
De telle sorte que si le patron se casse la jambe, le système puisse continuer à tourner sans lui.
Le management des ressources humaines et le Lean management doivent augmenter aussi le plaisir au travail
Sinon, le salarié peut se sentir floué et la nouvelle organisation ne tiendra pas dans le temps.
L’idée est que chacun :
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s’approprie son poste de travail,
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devienne responsable de ses résultats,
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contribue à la cohérence de l’ensemble de l’entreprise.
De ce point de vue, selon Leen Zevenbergen, même les « je-m’en-foutistes » ont un rôle à jouer sur le plan de la cohésion. Les licencier n’est pas forcément un bon calcul.
Les entreprises qui appliquent ce management des ressources humaines, comme Google par exemple, ont fait sauter le carcan des règles.
L’entreprise est ouverte 24h sur 24h et chacun peut s’organiser comme il veut, voir ne rien faire, pourvu que les résultats soient au rendez-vous.
Travailler 35 ou 40 h ne se pose plus
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La limite entre vie personnelle et vie professionnelle est moins marquée.
Il n’y a plus d’un côté:
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le travail qui ne me plaît pas, comme pour la moitié au moins des salariés en Europe,
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et de l’autre les loisirs où je vais pourvoir m’exprimer et trouver enfin du plaisir.
La règle est que chacun s’organise d’une façon qui lui convienne afin d’augmenter son plaisir au travail.
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Je consacre 20% de mon temps de travail à faire ce que je veux.
Ensuite, des séminaires « bon enfant » sont organisés pour venir présenter le fruit de ses innovations aux autres.
Quand on aime son travail, il est évident que :
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le poids des heures passées dans l’entreprise est moins important,
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la personne n’a plus le sentiment de travailler.
La vie personnelle et professionnelle peut même s’entremêler
S’il veut, un collaborateur peut tenir une réunion le samedi matin avant le match de foot des enfants ou inviter des amis dans l’entreprise.
Le management des ressources humaines devrait avoir pour régle "Le plaisir au travail"
Les managers devraient être coachés pour atteindre cet objectif
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Les entreprises qui pratiquent cette règle attirent et retiennent les meilleurs talents.
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Elles sont très productives, innovantes et ont généralement une croissance insolente.