Ce ne sont pas les enjeux, les situations ou les autres qui génèrent du stress ! C’est ce qu’une personne pense des enjeux, des situations ou des autres qui provoque son stress !
J’aime beaucoup l’anecdote de Matthews Henri.
La perception d’une situation et donc le niveau de stress qu’elle génère provient de nos mémoires héritées, acquises et vécues qui dictent nos comportements souvent inconsciemment.
Par exemple si je considère qu’il est périlleux d’exprimer mes émotions, je vais par exemple être stressé à l’idée d’exprimer ma flamme à l’être aimé.
L’approche comportementale et cognitive permet de reprogrammer nos comportements inconscients afin d’agir en création plutôt qu’en réaction.
Fabrice Bonnerot
Coach neuro-comportementaliste en nutrition
Merci Fabrice pour votre témoignage dont j’apprécie toute la justesse. Pour reprendre votre exemple de l’amoureux, Montaigne disait déjà : « Les hommes sont tourmentés par les opinions qu’ils ont des choses, non par les choses mêmes». Il ajoutait qu’il s’agissait d’agir à propos, pour bien souligner que seul l’instant comptait. Qu’il ne s’agissait pas de recouvrir cet instant par un présupposé mental juste propre à nous stresser.
Pas si facile, c’est pour cela que votre approche comportementale est si utile.
J’aime beaucoup l’anecdote de Matthews Henri.
La perception d’une situation et donc le niveau de stress qu’elle génère provient de nos mémoires héritées, acquises et vécues qui dictent nos comportements souvent inconsciemment.
Par exemple si je considère qu’il est périlleux d’exprimer mes émotions, je vais par exemple être stressé à l’idée d’exprimer ma flamme à l’être aimé.
L’approche comportementale et cognitive permet de reprogrammer nos comportements inconscients afin d’agir en création plutôt qu’en réaction.
Fabrice Bonnerot
Coach neuro-comportementaliste en nutrition
Merci Fabrice pour votre témoignage dont j’apprécie toute la justesse. Pour reprendre votre exemple de l’amoureux, Montaigne disait déjà : « Les hommes sont tourmentés par les opinions qu’ils ont des choses, non par les choses mêmes». Il ajoutait qu’il s’agissait d’agir à propos, pour bien souligner que seul l’instant comptait. Qu’il ne s’agissait pas de recouvrir cet instant par un présupposé mental juste propre à nous stresser.
Pas si facile, c’est pour cela que votre approche comportementale est si utile.
Damien Ponçon Coaching