Coronavirus et mental
Face au coronavirus, gérez votre mental
Coronavirus, « je ne veux pas en rajouter »
- Ensemble, nous savons comment agir pour retarder l’épidémie.
En deux minutes, je veux simplement vous faire découvrir l’essentiel de la gestion mentale face à une crise. Par contre, en fin d’article, je vous propose une routine plus complexe .
Comptez au moins 15 à 20 minutes pour l’assimiler…
D’abord, voyons ce coronavirus autrement qu’un ennemi à abattre
- Accueillez les situations sans les juger, sans les qualifier.
- L’autre est un autre et je suis quelqu’un d’autre, c’est tout !
Or, nous qualifions de crise ce qui dérange et est un danger
- Mais si vous ne qualifiez plus, plus rien ne vous dérange.
- Ce n’est qu’alors que vous pouvez agir avec discernement.
Sinon, vous réagissez en recouvrant les situations avec votre opinion
Et c’est l’écart entre votre attente, idéal, opinion et la situation telle quelle est qui vous exalte ou vous dépite. Autrement-dit, ce n’est pas le coronavirus qui vous fait réagir, mais l’opinion que vous en avez.
- Ainsi, que l’opinion que les autres en ont.
- Et tout ce que vous imaginez qu’il pourrait arriver.
Aussi, pour vivre cette situation en paix et agir avec discernement, accueillez cette situation sans jugement :
- Elle est, un point c’est tout…
Tout ce que vous ajouterez, en jugements ou refus de ce coronavirus, sera le problème créé par vous-même. Et vous ne pourrez le résoudre que dans la mesure où vous ne le créerez plus.
Aussi, je vous invite à pratiquer la gestion mentale
Ce ne sont pas les situations le problème, mais c’est ce que vous pensez des situations qui crée le problème. Autrement-dit, les situations sont neutres, mais c’est ce que vous pensez des situations qui vous trouble.
Tant que ce processus mental régit notre vie, nous réagissons. Et il nous est impossible d’agir avec conscience et discernement face aux dangers.
Pour gérer le mental, ce principe est puissant
Il évite que celui-ci ne transforme ce coronavirus en un problème plus grand que l’épidémie elle-même. En prenant donc conscience que recouvrir les situations avec des refus et jugements bloque l’action.
Coronavirus – assimiler cette routine en 20 min.
Pour mieux traverser cette crise, les crises, cliquer sur le titre :
Nos opinions sur le coronavirus ont amplifié cette crise
L’opinion dominante était :
C’est une « grippe cognée ». La France n’est pas la Chine. Et notre réaction fut de vivre comme si de rien n’était:
Un jour un randonneur se perdit en montagne. Par sécurité, il s’était dérouté car un énorme serpent lui barrait le chemin. En fait, il avait pris une corde pour un serpent.
L’écart entre la réalité et l’idée que l’on s’en fait crée une réaction de déni, d’exaltation ou de dépit. Alors, nous réagissons :
- Déni de réalité avec les conséquences que l’on sait.
- Effet de surprise suivi de panique ou d’exaltation.
- Mauvaises décisions, égoïsmes et trafics.
Le voile de l’illusion se déchire quand vous lâchez vos opinions. Alors, la réalité apparaît !
CE QUI EST … est ! Un point c’est tout !
Ce que vous ajoutez à CE QUI EST, au coronavirus, en qualificatifs, vous empêche de comprendre. Certes, vous réagissez … mais sans maîtrise.
Connaitre l’ennemi et se maîtriser permet de le neutraliser ! Les autorités ont traité le coronavirus de menace mineure, puis d’ennemi. Mais en ne le qualifiant plus, vous vous occupez du coronavirus sans délai. Vous COMPRENEZ alors calmement toute la gravité de la situation.
Observez CE QUI EST calmement pour le comprendre ! Vous gagnez du temps sur la crise !
Vivez l’instant et agissez sans vous emporter ni trembler
Vous vous emportez ou tremblez si vous laissez le refus s’immiscer dans votre esprit. Et vous transformerez une corde en redoutable serpent. Par exemple, avec l’opinion que le confinement est un mauvais moment à passer. Que c’est une contrainte !
Tout ce que vous ajouterez, en jugements ou refus de ce coronavirus, sera le problème créé par vous-même. Et vous ne pourrez agir en conscience que si vous ne créez plus ce problème.
lire le présent avec notre expérience peut induire en erreur
Notre mental ne tire pas les bonnes leçons des crises. Par expérience, le randonneur de l’Etape 1 « savait » le chemin sûr ! L’avait-il déjà emprunté ? Lui en avait-on parlé ? De là, il ne concevait pas rencontrer un danger, ce qui a amplifié la crise. Son expérience s’est retourné contre lui du fait de sa méprise.
En effet, sa connaissance des serpents l’a induit en erreur.
Soyons humble et présent à ce qui est présent !
Arrêtons de projeter nos certitudes ! Regardons, écoutons et confrontons-nous au réel :
Un père dit à son gamin de se taire pour qu’il puisse se concentrer afin d’ouvrir une porte bloquée. Alors que le gamin veut lui montrer la pierre qui bloque la porte.
La vérité est comme un miroir brisé, chacun en détient un morceau, mais croit détenir tout le miroir.
La terre serait-elle un lieu d’apprentissage de l’attention aux autres?
Cette crise du coronavirus COVID-19 nous place clairement devant un choix :
- Cultiver notre égocentrisme.
Je « t’emmerde », je fais ce que je veux : MOI et MA famille d’abord. - Entrer en amitié avec moi-même et avec les autres.
Je mesure la conséquence de mon acte. Est-il bénéfique pour moi et les autres ? Non, je m’abstiens. Oui, je fonce.
Et si tout le monde faisait pareil ?
Sans oublier que si l’autre ne vous veut pas forcément du mal, il ne vous veux pas forcément du bien. En pleine pandémie, des hackers s’en sont pris à des hôpitaux. Alors que d’autres ont annoncé qu’ils allaient changer de cible.
Apprenons à observer objectivement et à agir en conséquence !
La bataille du coronavirus se gagnera aussi dans la tête
Donc, j’ai fait de mon mieux pour écrire cette routine. Cela-dit, il est vrai que mon coaching individuel est nécessaire pour bien la comprendre et l’appliquer efficacement. En conséquence, je propose un coaching téléphonique gratuit en cas de difficultés financières du fait de cette crise.
Alors n’hésitez-pas, force et courage à vous !!
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