Garder son sang-froid
Comment garder son sang-froid dans les situations délicates ?
Notamment, stopper les mauvais agissements, sans faire déraper les situations, demande de garder son sang-froid !
En effet, une action est comme le craquement de l’allumette. Elle peut mettre le feu en un seul craquement !
Autrement-dit, sans garder son sang-froid, une personne réagit ! Ce qui revient à souffler sur les braises pour se brûler les doigts.
En 1s, il s’agit donc de se détendre ! Car le stress peut entraîner une intervention qui, mal dosée, peut vite faire dégénérer les choses. Cette seconde donne alors le temps de lâcher la tension provoquée par la surprise.
- Avant l’action, cette seconde sert à reprendre ses esprits pour voir les choses avec du discernement.
- Ne faisons rien, ou demandons de l’aide, s’il est impossible de se détendre assez.
Aussi, pour être prêt en toutes circonstances, c’est au quotidien que nous devrions aiguiser cette vigilance.
- Aujourd’hui, ce « travail de vigilance » se nomme pleine conscience.
- Il aide à rester en paix et à agir à-propos.
Mais, de nombreuses disciplines peuvent développer cette pleine conscience
Elles montrent par exemple combien notre action est vaine si nous sommes fébriles.
- Parmi elles : théâtre, aïkido, méditation, prière, etc.
En effet, vous ne pouvez agir juste que grâce à votre sang-froid. Autrement-dit, vous agissez librement et non dans le but de plaire.
Or, dans les situations conflictuelles, vous observerez souvent ceci
Généralement, une personne intervient pour gérer un conflit, sans parvenir à garder son sang-froid. Si bien qu’elle sur-réagit au lieu d’agir à-propos :
- Alors, les automobilistes en conflits risquent de s’allier pour se retourner contre elle.
- Et le couple, où le ton montait, l’agresse ensemble après qu’elle ait tenté de les calmer.
Tenter d’arrêter un conflit en réagissant cause souvent l’alliance des personnes en conflits contre celui qui tente de les calmer.
Par exemple, une personne avait plaqué au sol, dans un bus, un gars qui embêtait une femme
Alors, des personnes sont intervenues, pour défendre, sans la connaître, la personne qu’il venait de plaquer au sol.
- Celle-ci s’étant faite mal en tombant, elle a porté plainte.
Par chance, le policier, qui reçu la plainte, prit fait et cause pour le défenseur de la femme importunée.
- En effet, il connaissait les antécédents du « plaignant ».
Mais, le défenseur de la femme, voyant qu’aider autrui était source d’ennuis, s’est juré de ne plus jamais intervenir.
Même si c’est un peu excessif, … c’est compréhensible.
Un jour, j’ai mis un terme au comportement d’un hurluberlu qui agressait verbalement les femmes sur un quai de gare
Il s’empoignait les parties et leur hurlait au visage : « T’as pas de C… ».
L’une des femmes que j’ai défendu s’est écriée : « Ah quand même !! » Même pas de : « Merci! »
Ce qui peut surprendre ! Mais que faut-il vraiment entendre ?
Je me fais agresser et tous ces lâches regardent ailleurs ! Un qui ose enfin faire ce qu’il est normal de faire !
Bref ! Sous le coup du stress, elle a réagi en agressant son défenseur !
Par ailleurs, un 24 décembre, j’ai assisté à une altercation entre deux automobilistes
Leur différent les occupait tellement qu’ils se fichaient royalement de l’énorme bouchon qu’ils étaient en train de créer.
- J’étais juste derrière, dans ma voiture en train d’observer la scène.
Plutôt que de les klaxonner, je les ai interpellé… C’est là qu’ils se sont retournés tous les deux vers moi, solidaires pour « me dérouiller » à mon tour. J’ai fait preuve de répartie en leur disant :
« Passez l’éponge quoi, c’est la veille de Noël ! »
Pris par surprise, ils sont remontés dans leur voiture et ils sont partis, résolvant le bouchon…
Et il y a aussi toutes ces situations « moins glorieuses » où il m’est arrivé de perdre mon sang-froid
Par manque de conscience, pris par surprise, stressé je n’ai pas bien discerné ce qui arrivait.
Comme la vie est surprenant, il se peut que j’ai à vivre un jour des situations encore plus critiques.
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