Le consolateur
Répondons justement aux situations difficiles
Que c’est vilain de passer son temps à se morfondre
En effet, quand nous vivons un changement brutal, normalement nous sommes sensés agir tel un surfeur. Mais si nous nous plaignions, ce n’est pas ce que nous faisons, nous réagissons.
Même si nous avons des raisons légitimes de nous plaindre, nous n’arrangeons rien en gémissant sur nous-mêmes.
- Au contraire, nous ne ferons qu’ajouter de la peine à la tristesse !
Alors, notre cœur risque bien d’être doublement meurtri par ce mauvais traitement que nous lui infligeons :
Nous l’emplissons d’amertume, qui gagne notre corps tout entier et finit par ruiner son énergie.
Le consolateur en soi nous éduque à agir
Tout bien considéré, déposons notre affliction dans le cœur de « l’Ami » qui nous aime inconditionnellement. C’est-à-dire dans le cœur du consolateur qui nous chérit comme une Mère et un Père. Confions-lui notre chagrin et nous trouverons, grâce à lui, la paix.
- Allons à lui avec notre fardeau, il nous en déchargera !
Effort à vivre
Traversez-vous une épreuve ?
Empressez-vous bien vite de confier votre peine au consolateur. Épanchez votre cœur avec la confiance d’une enfant envers sa Mère.
- Pourquoi te désoler, ô mon âme, et gémir sur moi ?
- Sois dans l’espérance, le consolateur t’offre sa main !
Qui est le consolateur ?
Choisissons-le suivant notre sensibilité
De sensibilité spirituelle, notre consolateur est Bouddha, Mahomet, Krishna, …, Jésus. Alors, cultivons un lien d’amitié avec lui par la méditation, le chant ou la prière. Quant à l’athée, il est son propre consolateur en cultivant un lien d’amour avec son enfant intérieur.
Ainsi, nous donnons à notre enfant intérieur l’éducateur parfait, Mère ou Père, qui nous décharge de nos poids. De là, il nous soutient dans notre croissance et nous éduque à devenir un adulte mature.
Recevez ebooks, textes, …